L'agroécologie avec les monastères roumains

Le réseau Roumanie a été contacté récemment par Hélène Hollard de "Cultivons nos jardins" à propos d'un projet sur l'agroécologie avec la Roumanie.

Pierre Rhabbi, dont elle est proche, de terre et humanisme lance un projet en Roumanie sur de la formation en agroécologie.

Ce qui peut paraître étonnant dans ce projet concerne le choix du partenaire roumain avec lequel cette association a décidé de travailler : les monastères orthodoxes.

Les monastères disposent en effet de lycées et de fermes. Ils sont très présents sur l'ensemble du territoire roumain et sont très intéressés par l'agriculture biologique et l'agroforesterie. Un vieux projet du réseau Roumanie était dans les cartons avec les mêmes acteurs et la même thématique.

Nous suivrons avec intérêt les premières étapes de ce projet (rencontres en Roumanie avec les acteurs roumains de la formation et de l'agroécologie en janvier) et visites de sites de formation.

Des stages et collaborations sont envisageables autour de ce projet.


Vincent

Le réseau Roumanie à la rencontre de la filière viticole roumaine

Le réseau Roumanie est allé pour sa mission annuelle du réseau en Roumanie à la rencontre des acteurs (économiques et de formation) de la filière viticole fin novembre 2010.


Grâce au soutien du ministère de l'enseignement de Roumanie et de Didina Bejan (enseignante à Brie Comte Robert)nous avons pu rencontrer des lycées agricoles avec la spécialité viticole (Husi, valea calugareasca, Iasi), une université formant des oenologues (Iasi), des viticulteurs et entreprises viticoles (Valea calugareasca, Focsani, Husi et Isai).

Un compte rendu détaillé de la mission sera envoyé prochainement aux membres du réseau.

Parmi les conclusions et perspectives de ces rencontres. Nous pensons pouvoir développer des programmes comenius et leonardo entre les établissements roumains rencontrés et des lycées viticoles demandeurs. Des lycées roumains intègreront probablement aussi le réseau européen des lycées viticoles. Autres possibilités, l'accueil d'étudiants français en stage dans certaines unités de production ou exploitations viticoles roumaines et le développement de mobilités Erasmus entre l'université de Iasi et des écoles françaises sur la spécialité viticulture oenologie.

Pour la prochaine mission, rien n'est arrêté, mais nous pensons fortement à la filière bois ou à le BIO.



Vincent